A la découverte d’une personnalité
La radio 9jafrenchradio est allée à la découverte d’une personnalité qui a su à travers ses conseils et connaissances dans le domaine de la diplomatie joué un rôle essentiel entré certains pays dans l’espace de la CEDEAO.
Qui est réellement Mutari Ali Daura ?
Un homme,une histoire ………
Mutari Ali est une figure exemplaire de la diplomatie africaine contemporaine.
Au fil de sa carrière, il s’est imposé comme un diplomate chevronné, habile dans l’art des négociati ons sous régionales notamment l’espace CEDEAO tout en restant profondément ancré dans ses valeurs et son identité africaine. Mutari ali Daura, est né à Yardaje au Nigeria en 1959, il a fait l’école primaire à Yardaje, en 1968, il est entré à l’école secondaire Daura, 1974-1980 il a obtenu un diplôme en administration et politique publique, un diplôme d’études supérieures, il a travaillé à l’UTC nig Ltd pour devenir manager, Md Tropical Motors.
Il est maintenant président de Cosmi Insurance, Lagos, président de Metropolitan Construction Company à Lagos, directeur de Hoop Telecom à Lagos, et il est l’ambassadeur de la République du Bénin au Nigeria depuis 2005.
Son parcours est le reflet d’une vision claire : celle de promouvoir et défendre les intérêts de l’Afrique sur la scène internationale tout en honorant le riche patrimoine culturel du continent.
Un parcours diplomatique remarquable, Mutari Ali a su très tôt se démarquer dans un monde où la compétition est souvent féroce. Il a occupé plusieurs postes de haute responsabilité dans des institutions, des organisations multilatérales, ainsi que dans des missions spéciales pour la paix et la sécurité. Cette expérience diversifiée a fait de lui un expert dans les relations internationales, doté d’une vision globale tout en étant profondément connecté aux réalités locales des pays africains dont le Nigeria,le Niger,le Bénin.
Le Nigeria s’est imposé comme un acteur incontournable de l’industrie musicale africaine et mondiale, en particulier grâce à l’essor de l’Afrobeats. Des artistes comme Burna Boy, Wizkid, Davido et bien d’autres ont conquis des scènes internationales, attirant une attention massive sur la culture musicale nigériane. Mais en observant de plus près ce succès fulgurant, une question persiste : pourquoi les artistes francophones ne parviennent-ils pas à se faire une place sur ce podium dominant ?
Un géant musical en expansion, le Nigeria, avec une population de plus de 200 millions de personnes, possède un marché intérieur colossal qui a servi de terreau pour ses talents. Cette population, associée à une diaspora très active et influente, a permis à la musique nigériane de s’étendre au-delà des frontières africaines. Des plateformes numériques comme YouTube, Spotify et Apple Music y ont également trouvé un public avide de découvrir de nouvelles tendances, facilitant ainsi la diffusion de la musique locale à un niveau global.
La maîtrise de l’anglais, langue internationale, a également été un atout majeur pour les artistes nigérians. Ils ont pu s’inscrire dans des collaborations internationales, atteignant ainsi un public beaucoup plus large, ce qui a souvent manqué aux artistes francophones.Les artistes francophones, en particulier ceux provenant de pays comme la Côte d’Ivoire, le Mali, le Sénégal ou la République démocratique du Congo, possèdent également un riche patrimoine musical. Des genres tels que le coupé-décalé, la rumba congolaise et l’Afrotrap connaissent un succès dans les pays francophones, mais ils peinent à transcender ces frontières.L’une des raisons de cette limitation est la barrière linguistique. Le français, bien que langue officielle dans plusieurs pays d’Afrique, ne bénéficie pas de la même portée internationale que l’anglais. La majorité des chansons produites dans ces pays sont donc limitées à un public qui maîtrise le français. Cela pose un défi considérable lorsque les artistes cherchent à s’imposer sur des scènes internationales dominées par des artistes anglophones, notamment ceux du Nigeria.En outre, la structure de l’industrie musicale dans de nombreux pays francophones est encore en développement comparée à celle du Nigeria. Des problèmes liés à la distribution, à la promotion, au manque d’investissement et à l’organisation du secteur freinent souvent les ambitions des artistes francophones, qui peinent à obtenir la visibilité nécessaire pour percer à l’international.
Les collaborations jouent un rôle crucial dans l’expansion de la carrière des artistes. Les artistes nigérians ont su capitaliser sur les collaborations avec des stars internationales, telles que Drake, Beyoncé ou Justin Bieber, pour augmenter leur notoriété. À l’inverse, peu d’artistes francophones ont réussi à établir des connexions similaires avec ces grandes figures de la musique mondiale.De plus, même au niveau intra-africain, les collaborations entre artistes francophones et anglophones restent rares. Lorsqu’elles existent, elles ne parviennent pas toujours à attirer l’attention des grands médias et du public mondial. Cette absence de synergies musicales entre les deux mondes contribue à accentuer le fossé.
Cependant, tout n’est pas perdu.
Ces dernières années, des artistes francophones tels que MHD (avec l’Afrotrap), Aya Nakamura, ou encore Fally Ipupa ont montré qu’il était possible de percer à l’international, même en chantant principalement en français. Ils ont su mixer les influences francophones et anglophones, tout en exploitant la puissance des plateformes numériques.
La clé pourrait résider dans une plus grande ouverture des artistes francophones à l’international, avec plus de collaborations transfrontalières, et une volonté d’adapter leur musique aux goûts d’un public mondial. Le Nigeria pourrait ainsi devenir un exemple à suivre, non seulement en termes de production musicale, mais aussi en matière de stratégie et de gestion de carrière.
L’absence des artistes francophones sur le podium nigérian reflète une série de facteurs complexes, allant des barrières linguistiques aux différences structurelles dans l’industrie musicale.
Cependant, avec les récents succès de certains artistes francophones à l’échelle internationale, il est clair que des ponts peuvent être bâtis entre ces deux mondes musicaux. L’avenir de la musique africaine réside dans une meilleure coopération et une ouverture entre les artistes des différentes sphères linguistiques et culturelles.
Le nord du Nigeria, déjà tristement réputé pour ses incidents d’insécurité, a été récemment le théâtre d’un nouvel épisode dramatique. Trois citoyens béninois en route pour le Bénin ne pouvant pas passer par la frontière de Mallanville ont été enlevés par des individus armés non identifiés, alimentant les craintes et suscitant des appels à une action rapide et efficace des autorités des deux pays.
Les enlèvements se sont produits dans une zone frontalière entre le Niger et le Nigeria, où l’insécurité grandissante fait de cette région une zone à haut risque. Depuis plusieurs années, le nord du Nigeria est en proie à de multiples groupes armés, dont les tristement célèbres groupes terroristes Boko Haram et les bandes criminelles appelées « bandits ». Ces derniers opèrent principalement dans les États du nord-ouest et du centre-nord du Nigeria, et se spécialisent dans les enlèvements contre rançon, l’extorsion, et les attaques contre des villages.
Les trois Béninois enlevés d’après certaines informations sont du département du Plateau et sont des ouvriers à Niamey.
Selon les premiers éléments disponibles, il est fort probable que les ravisseurs aient pour but d’obtenir une rançon en échange de leur libération, un mode opératoire devenu courant dans cette zone,comme le témoigne d’ailleurs la personne ayant reçu le message des ravisseurs sur son portable à Niamey.
La situation au nord du Nigeria a des répercussions sur toute la sous-région ouest-africaine, y compris le Bénin, ce qui nécessite une réponse D’après les informations,les ravisseurs réclament un million cinq cents mille de francs avant de les libérer.
Le Bénin et le Niger se trouvent à un moment critique où la coopération entre les deux pays pourrait être un facteur décisif pour assurer la sécurité des citoyens et contrer les activités criminelles dans cette région frontalière.La disparition de ces trois Béninois est un rappel brutal de l’insécurité rampante qui affecte non seulement le nord du Nigeria, mais aussi ses voisins. Une réponse rapide et coordonnée des autorités pourrait non seulement sauver des vies, mais aussi envoyer un message fort aux groupes criminels qui prospèrent dans ces zones fragiles. Le temps presse, et chaque heure qui passe augmente le danger auquel sont exposées les victimes.
Suite aux récentes inondations qui ont frappé la région de Maradi, laissant des milliers de familles sans abri et sans ressources, l’Amicale des anciens élèves du CEG 2 s’est mobilisée pour venir en aide aux sinistrés.
Cet élan de solidarité témoigne de l’engagement citoyen de cette association, composée d’anciens élèves désireux de contribuer au bien-être de leur communauté.
Une situation d’urgence humanitaire
Les fortes pluies qui se sont abattues sur Maradi au cours des dernières semaines ont entraîné des crues dévastatrices, provoquant des destructions massives dans plusieurs localités. De nombreuses habitations ont été emportées par les eaux, les récoltes détruites, laissant la population dans une situation de vulnérabilité extrême. Face à cette urgence, des organisations locales se sont rapidement mobilisées pour porter secours aux victimes.
L’initiative de l’Amicale des anciens élèves du CEG 2
Parmi les initiatives locales, celle de l’Amicale des anciens élèves du CEG 2 a été particulièrement remarquée. En collaboration avec des partenaires et des bénévoles, l’association a mis en place une opération de distribution de vivres destinée aux familles touchées par la catastrophe.
Les dons collectés ont permis de distribuer plusieurs tonnes de denrées de première nécessité, notamment du riz,et des produits d’hygiène. Cette aide est cruciale pour les sinistrés, qui ont perdu non seulement leurs biens matériels, mais aussi leurs moyens de subsistance. Les membres de l’Amicale ont également veillé à ce que la distribution se fasse de manière équitable et transparente, en ciblant prioritairement les plus vulnérables : femmes, enfants et personnes âgées.
Un soutien moral et psychologique
Au-delà de l’aide matérielle, l’Amicale des anciens élèves du CEG 2 a apporté un soutien moral et psychologique aux sinistrés. Les anciens élèves, ayant eux-mêmes grandi dans cette région, sont conscients des difficultés que traversent les victimes. Leur présence et leur solidarité ont permis d’apporter un réconfort à ces familles en détresse.
L’Amicale des anciens élèves du CEG 2 appelle les autres associations, ainsi que les citoyens, à continuer de soutenir les victimes des inondations. Si l’aide apportée est précieuse, elle reste encore insuffisante au vu de l’ampleur des besoins. Les anciens élèves prévoient de poursuivre leurs actions, en organisant d’autres collectes de fonds et de vivres pour répondre à la crise.Suivez les moments forts de la distribution à travers ce reportage des confrères de la 3.
Le tout premier Symposium des entraîneurs de la CAN TotalEnergies a marqué une étape importante dans le football africain, puisque les meilleurs entraîneurs et experts du continent se sont réunis pour partager leurs points de vue sur les succès de la très réussie Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies 2023 et leurs aspirations pour de futurs triomphes.
Organisée à l’historique Hôtel Ivoire à Abidjan, en Côte d’Ivoire, du 12 au 13 septembre, cette conférence pionnière de deux jours a réuni le meilleur du football africain.
Voici quelques-unes des citations les plus marquantes du jour 01.
« L’Afrique a une riche histoire de production de talents footballistiques exceptionnels et nous sommes convaincus qu’une nation africaine remportera bientôt le titre de la Coupe du monde. Les récents succès, comme le parcours remarquable du Maroc jusqu’aux demi-finales de la Coupe du monde 2022 et la performance impressionnante du Ghana en 2010, démontrent notre potentiel. Pour atteindre le sommet, nous devons combiner travail acharné et confiance en nous-mêmes. »
DR. PATRICE MOTSEPE – PRÉSIDENT DE LA CAF
YACINE IDRISS DIALLO- PRESIDENT DE LA FEDERATION IVOIRIENNE DE FOOTBALL
« Nous sommes extrêmement fiers d’avoir contribué au succès historique de la meilleure Coupe d’Afrique des Nations jamais organisée. Nous adressons nos plus sincères remerciements à toutes les parties prenantes qui ont joué un rôle crucial dans le triomphe du tournoi, en particulier Son Excellence le Président Alassane Ouattara, dont le leadership visionnaire et les investissements dans les infrastructures ont considérablement contribué au succès de la compétition. »
DESIRE NOUMANDIEZ DOUÉ – CHEF DES ARBITRES DE LA CAF
« La CAN actuelle démontre l’efficacité de la VAR pour garantir le fair-play. En ce moment même, nous menons une étude approfondie de l’arbitrage dans quatre catégories clés : contrôle des matches, décisions, recours à la VAR et impact sur la compétition. Notre objectif est d’améliorer l’arbitrage et de promouvoir des conditions de jeu équitables dans le football africain. »
« La FIFA s’est engagée à développer le football à l’échelle mondiale, et la CAN a atteint les standards du football international, ce qui est une réussite vraiment remarquable. Pendant le tournoi, nous avons mis en place un système d’analyse de données de pointe, similaire à celui utilisé lors de la Coupe du Monde de la FIFA 2022. Une équipe de 26 analystes experts par match a collecté des données détaillées sur les performances des joueurs et des équipes, avec et sans ballon. En intégrant des données de suivi avancées, les entraîneurs disposent d’informations et de ressources exploitables pour éclairer leurs stratégies et améliorer les performances de l’équipe. »
« Revenir pour contribuer à la croissance des équipes africaines est un choix que je suis fier d’avoir fait. La présence de légendes comme moi, Jay-Jay, Didier Drogba et bien d’autres apporte une valeur significative à nos équipes, tant en termes de marketing que d’influence politique. Plutôt que de simplement déménager en Europe après leur carrière en équipe nationale, nous pouvons ensemble encadrer la prochaine génération et assurer la croissance et le succès continus du football africain ».
Le Président de la Confédération Africaine de Football (« CAF »), Dr Patrice Motsepe, s’est vu décerner aujourd’hui la plus haute distinction de Côte d’Ivoire, à savoir le titre de « Commandeur de l’Ordre National » par le Chef de l’Etat ivoirien, le Président Alassane Ouattara, et le Chancelier des Ordres Nationaux à Abidjan.
Le Secrétaire Général de la CAF, Veron Mosengo-Omba, a reçu le prix « Officier de l’Ordre National ».
Le président Ouattara a déclaré que le Dr Motsepe a joué un rôle clé non seulement dans le succès de la Coupe d’Afrique des Nations de la CAF TotalEnergies, mais également dans le changement du visage et du destin du football africain.
Le prix décerné par le gouvernement ivoirien est également une reconnaissance de l’engagement et du leadership du Dr Motsepe pour avoir organisé la Coupe d’Afrique des Nations de la CAF TotalEnergies (« CAN ») la plus réussie de l’histoire de cette compétition.
Le Président Ouattara a déclaré : « Nous sommes particulièrement fiers du travail accompli par le Président Motsepe depuis sa prise de fonctions à la CAF. Le succès de la Coupe d’Afrique des Nations est dû à son leadership et à celui de la CAF. Ce prix est une reconnaissance de l’excellent travail qu’il accomplit à la CAF et dans la promotion du développement du football en Afrique. »
Le Dr Motsepe était accompagné du Président de la FIF Yacine Idriss Diallo, de Véron Mosengo-Omba et des dirigeants du football ivoirien.
Le Président Motsepe a déclaré : « Je suis profondément honoré et touché de recevoir ce prix au nom des associations membres de la CAF représentant les 54 pays africains membres de la CAF. Ma plus profonde gratitude au Président Ouattara, au Gouvernement et au peuple de Côte d’Ivoire pour ce prix prestigieux. L’énorme succès de la CAN TotalEnergies Côte d’Ivoire repose sur le leadership visionnaire du Président Ouattara, l’engagement de son Gouvernement ainsi que le soutien des 54 associations membres de la CAF, du Comité exécutif de la CAF, du Secrétaire général et du personnel de la CAF, du Président Idriss Diallo, du COL, des dirigeants du football en Côte d’Ivoire, des sponsors de la CAF et des supporters passionnés de football ivoiriens et africains. La CAN TotalEnergies Côte d’Ivoire a également été un excellent exemple de la capacité du football à rassembler et à unir des personnes de différentes origines raciales, ethniques et religieuses en Afrique et dans le monde. Les 1,4 milliard de personnes dans 180 pays qui ont suivi la CAN TotalEnergies en Côte d’Ivoire montrent clairement que le football africain est compétitif à l’échelle mondiale et qu’il n’a rien à envier aux meilleurs du monde. Nous continuerons d’investir dans les académies pour garçons et filles, les écoles de football, les entraîneurs et les coaches, la construction de stades et d’autres infrastructures et installations de football et nous soutiendrons nos associations membres.
Mosengo-Omba a également remercié le gouvernement ivoirien pour sa distinction.
CAF | Service des communications
Un bandit notoire identifié comme Kachallah Buzu a été abattu dans l’État de Zamfara.
Buzu a été tué lors d’une opération militaire massive à Zamfara, où des bandits ont fait des ravages. Un bandit notoire identifié comme Kachallah Buzu a été abattu dans l’État de Zamfara.
Lors de l’opération qui a eu lieu jeudi,les troupes auraient saisi des motos et une grande cache d’armes. Les cachettes des bandits ont également été détruites. Ce développement survient quelques heures après que des agents du Département des services d’État (DSS) et les troupes de l’armée de l’air nigériane ont neutralisé des dizaines de bandits qui ont attaqué le village de Bassa-Kukoki, district d’Allawa de la zone de gouvernement local de Shiroro de l’État du Niger. On a appris que les terroristes ont été tués peu de temps après que les troupes aériennes qui pilotaient des jets Super Tucano ont lancé des frappes aériennes sur eux suite à des renseignements fournis par le DSS via ses installations sur l’embuscade planifiée par les criminels. Un haut responsable au sein du cercle de sécurité a déclaré au Daily Trust à Abuja qu’au moins 3 membres de la communauté ont été tués par les terroristes en fuite au cours des opérations, ajoutant qu’aucun membre du personnel de sécurité n’a été touché pendant le duel armé. “Lors de cette opération qui a eu lieu à Shiroro dans l’État du Niger mercredi.
Donnant un aperçu du déroulement de l’opération, le directeur adjoint des relations publiques et de l’information de l’armée nigériane NAF, Kabiru Ali, un capitaine de groupe de la force, a déclaré que pas moins de 28 bandits ont été éliminés au cours des opérations. Ali a expliqué que l’opération visait les éléments criminels qui terrorisaient les communautés dans la zone de gouvernement local.
Présentation :Antonin Labintan
La Une des journaux parus ce jour Vendredi.
La Direction Départementale de la Police Nationale de Gaya à travers son antenne de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS) a réalisé un coup de filet majeur durant le mois d’août 2024, menant à la saisie de quantités significatives de substances illicites et au démantèlement de deux réseaux de trafic international de drogue à haut risque.
Du 1er au 29 août, les forces de l’ordre ont intercepté 39 291 comprimés de tramadol 250 mg ; 6,18 kilogrammes de cannabis ; 334,34 grammes de crack ; 60,44 grammes d’héroïne; 250 comprimés de diazépam D5 ; ainsi que 33 comprimés d’exol. Les précisions avec les autorités locales .Le Préfet de Gaya Cdt Moussa Saley au micro de 9jafrenchradio.
Ces opérations déterminantes ont également conduit à l’arrestation de 25 personnes dont un mineur et une femme impliqués dans ces activités criminelles.
Fhadel ALOU correspondant de 9jafrenchradio à Gaya au Niger…