La 2ème édition de Urban NVMBR : Un rendez-vous incontournable à Abuja, Nigeria

La 2ème édition de Urban NVMBR : Un rendez-vous incontournable à Abuja, Nigeria

Du 22 au 24 novembre, la capitale nigériane, Abuja, accueille la deuxième édition de Urban NVMBR, un événement d’envergure internationale qui célèbre la créativité urbaine sous toutes ses formes. Cette plateforme culturelle et artistique met en lumière les talents émergents et confirmés dans les domaines de la musique, de l’art, de la mode, de la gastronomie et des innovations technologiques.

Cette année, Urban NVMBR promet une expérience immersive avec un programme varié comprenant :

Concerts et performances live : Des artistes locaux et internationaux se produiront sur scène pour offrir une fusion unique de sons afrobeat, hip-hop, et électroniques. Le festival met également un accent particulier sur les jeunes talents nigérians, offrant une scène à ceux qui façonnent l’avenir de la musique urbaine en Afrique.

Expositions artistiques : Peintures, sculptures et installations interactives d’artistes contemporains seront présentées, mettant en valeur la diversité et la richesse de l’art urbain africain.

Défilés de mode : Les créateurs de mode avant-gardistes du Nigeria et d’ailleurs dévoileront leurs collections, explorant des thèmes comme la durabilité, l’identité culturelle et les tendances globales.

Marché gastronomique : Les visiteurs pourront découvrir et savourer des plats innovants fusionnant traditions culinaires africaines et influences modernes.

Discussions et ateliers : Des conférences et des panels réunissant experts, entrepreneurs et leaders d’opinion aborderont des sujets variés, notamment l’impact de la technologie sur les industries créatives, l’entrepreneuriat culturel et les stratégies de développement durable en milieu urbain.

Urban NVMBR se positionne comme un véritable incubateur pour les industries créatives africaines. L’événement offre aux artistes, designers et entrepreneurs un espace pour réseauter, collaborer et mettre en avant leur travail sur une scène internationale. En célébrant la diversité culturelle et les innovations urbaines, il contribue également à renforcer l’identité artistique et économique de l’Afrique.

Au-delà de son aspect festif, Urban NVMBR joue un rôle essentiel dans la dynamisation de l’économie locale. Les infrastructures d’Abuja, comme les hôtels, les restaurants et les commerces, bénéficient de l’afflux de visiteurs venus du Nigeria et d’ailleurs. De plus, l’événement contribue à renforcer l’attractivité d’Abuja comme une destination clé pour les événements culturels en Afrique.

L’avenir d’Urban NVMBR

Avec une première édition déjà couronnée de succès, cette deuxième édition s’annonce encore plus ambitieuse. Urban NVMBR ne se limite pas à un simple festival : il s’agit d’un mouvement qui célèbre l’énergie et la créativité de la jeunesse africaine tout en promouvant des opportunités économiques et culturelles. Les organisateurs envisagent d’élargir sa portée à d’autres grandes villes africaines dans les années à venir, renforçant ainsi sa mission de mettre en avant la richesse des cultures urbaines du continent.

En résumé, Urban NVMBR est bien plus qu’un événement. C’est une célébration de la créativité, de l’innovation et de la culture urbaine africaine, avec Abuja comme épicentre de cette effervescence. Ne manquez pas ce rendez-vous incontournable !

Makoko, la “Venise de Lagos” : une ville dans la ville

Perché au bord du lagon de Lagos, Makoko est bien plus qu’un simple quartier de la mégapole nigériane. Surnommé parfois la “Venise de Lagos”, Makoko incarne une symbiose fascinante entre résilience humaine et défis urbains. Bien que souvent décrit comme un bidonville, ce quartier flottant raconte une histoire riche, mêlant traditions ancestrales, marginalisation, et ingéniosité communautaire.

Makoko a vu le jour au XIXe siècle en tant que modeste communauté de pêcheurs. Aujourd’hui, il s’est transformé en une agglomération dense, habitée par environ 250 000 personnes, bien que les chiffres exacts soient difficiles à établir. Le quartier est divisé en deux parties : une zone terrestre, où les habitations sont construites sur des terres fermes, et une zone aquatique, où les maisons sur pilotis s’élèvent au-dessus des eaux troubles du lagon.

La majorité des habitants sont issus de groupes ethniques tels que les Egun et les Yoruba, dont les traditions sont profondément ancrées dans la pêche et la vie aquatique. Dans la partie flottante, les pirogues remplacent les voitures : elles servent de moyen de transport, de commerce, et même d’habitations.

Makoko est un microcosme à la fois autonome et marginalisé. Dans ce quartier, l’accès aux infrastructures de base est limité : l’eau potable, l’électricité, et les services sanitaires sont rares, voire inexistants. Les habitants doivent souvent improviser pour répondre à leurs besoins quotidiens, utilisant des ressources locales et recyclant les déchets pour construire et réparer leurs maisons.

L’éducation est un autre défi majeur. Malgré cela, des initiatives locales comme l’école flottante de Makoko – une structure novatrice et durable – témoignent de la créativité et de la détermination des habitants à offrir un avenir meilleur à leurs enfants.

Le gouvernement nigérian a historiquement considéré Makoko comme un “problème urbain” plutôt qu’un patrimoine vivant. En 2012, une tentative d’expulsion massive a entraîné la démolition de plusieurs habitations flottantes, laissant des milliers de personnes sans abri. Ces actions ont mis en lumière le conflit entre la nécessité de moderniser Lagos et le droit des populations marginalisées à maintenir leur mode de vie.

Makoko est souvent stigmatisé comme un lieu de pauvreté et de dénuement. Pourtant, pour ses habitants, il représente une maison et un mode de vie qu’ils chérissent. La communauté a développé une forte solidarité interne, où chacun contribue à la survie collective.

Makoko est plus qu’un quartier surpeuplé ; il est un symbole de résilience face à l’adversité. Ses habitants, souvent invisibles aux yeux de la ville qui les entoure, incarnent une créativité et une capacité d’adaptation remarquables. À travers leur quotidien, ils défient les stéréotypes et illustrent comment une communauté peut prospérer dans des conditions précaires.

Le quartier attire également l’attention d’architectes, de chercheurs et d’artistes du monde entier, fascinés par son modèle de vie unique. Des projets de développement durable, comme la création d’habitations flottantes écologiques, pourraient transformer Makoko en une source d’inspiration pour d’autres régions du monde confrontées à la montée des eaux ou à des défis similaires.

Malgré son charme unique, Makoko reste confronté à de nombreuses incertitudes. La pression de l’urbanisation rapide et le manque de reconnaissance officielle menacent sa survie. Toutefois, les voix de ses habitants et des défenseurs de leur mode de vie continuent de plaider pour une intégration respectueuse de Makoko dans le développement de Lagos.

Makoko, cette “ville dans la ville”, n’est pas seulement un lieu : c’est une leçon sur l’ingéniosité humaine et la capacité de trouver de la beauté et de la communauté même dans les environnements les plus difficiles.

Dan majalisar tarayya Ikra Aliyu Bilbis ya raba tallafin karatu ga dalibai 1048

Sanata Ikira Aliyu Bilbis ya bayyana haka a lokacin bada tallafi ga daliban a wani bikin da Aka yi a sakatariyar JB Yakubu Dr. Garba Nadama da ke Gusau babban birnin jihar Zamfara. 

Sanata Bilbis ya bayyana cewa shirin na daga cikin alkawuran da ya yi na taimakawa Dalibai don ci gaba da karatunsu, inda ya ba da tabbacin ci gaba da hakan a gaba. 

Bilbis ya bayyana Ilimi a matsayin kashin bayan duk wani ci gaba, inda ya yi kira ga al’ummar Jihar Zamfara da su mallaki ilimin addinin Musulunci da na boko.

 “A shekarar da ta gabata Santa Bilbis ya yi irin wannan shiri ga daliban mazabarsa ta” Ikira. 

Ya yabawa Gwamnan Jihar Dauda Lawal bisa kokarinsa na ba da fifiko a fannin Ilimi, ya kuma yi kira gare shi da ya ci gaba da yin hakan. 

A nasa jawabin Mai Martaba Sarkin Gusau Dr, Ibrahim Bello ya yabawa Sanatan bisa wannan karimcin ,ya kuma yi kira ga Dalibai da su yi amfani da allafin da aka ba su a hanyoyin da suka dace, ya kuma bukaci sauran ‘yan siyasa, da attajirai da su yi koyi da Sanata Ikira. 

A nasa jawabin, Gwamnan Jihar Zamfara Dauda Lawal, ya bayyana farin cikinsa da shirin, inda ya bayyana shi a matsayin abin farin ciki ga Dalibai da al’ummar Jihar, ya kuma ba da tabbacin cewa za su kara ba da dukkan goyon baya da taimakon da ya kamata ga bangaren Ilimi.

 Novotel, une marque mondiale emblématique au sein du portefeuille Accor

Novotel, une marque mondiale emblématique au sein du portefeuille Accor, leader mondial de l’hôtellerie, est ravi d’annoncer l’ouverture du Novotel Abidjan Marcory, un ajout dynamique au quartier animé de Marcory. Conçu pour répondre aux besoins des voyageurs d’affaires et des familles, cet établissement contemporain de 17 étages offre un design soigné, des espaces flexibles et des expériences enrichissantes.

Situé à seulement 10 minutes de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny et à proximité du centre d’affaires du Plateau, l’hôtel offre un accès optimal pour les voyageurs d’affaires et de loisirs. 

Avec ses 201 chambres, dont 10 suites, Novotel Abidjan Marcory crée un environnement harmonieux où travail et détente cohabitent en toute simplicité. 

Le design intérieur des chambres, signé par le studio Sundukovy Sisters, intègre le bien-être dans des espaces uniques de « co-living » qui favorisent des interactions sociales animées.  Ces intérieurs s’harmonisent magnifiquement avec la vision orchestrée par l’architecte Claude Missir. Les espaces de restauration ont été soigneusement conçus par l’architecte Joanna Pera Duvocelle, réhausse l’expérience avec des espaces élégants et une offre culinaire raffinée.

Fidèle à la philosophie de vie équilibrée de Novotel, l’hôtel met à disposition des espaces conçus pour créer des moments familiaux inoubliables et insuffler une énergie nouvelle aux professionnels , Des chambres intuitives aux offres de divertissement et de bien-être, chaque détail a été pensé pour garantir une expérience unique. Son concept “Your Time, Your Way”, invite les clients à personnaliser leur expérience, avec des espaces flexibles pour travailler ou se détendre, ainsi que des services pour se ressourcer et se revitaliser.

L’expérience culinaire du Novotel Abidjan Marcory se distingue par LIVA, le restaurant signature situé au 11ème étage, offrant une cuisine méditerranéenne contemporaine avec une vue panoramique sur la ville. La terrasse invite à des échanges prolongés, tandis que L’Escale, le cigar lounge, propose un cadre exclusif pour les amateurs de cigares et de cocktails. LIVA Pool, l’espace piscine-bar, promet quant à lui une atmosphère décontractée, pour ceux en quête d’équilibre.

Parmi les installations, le Novotel Abidjan Marcory propose un espace fitness accessible 24h/24 avec des équipements de pointe, et une piscine extérieure propice à la détente. Pour les événements professionnels, l’hôtel dispose de trois salles de réunion flexibles. La salle Sirocco peut accueillir jusqu’à 300 personnes offrant un cadre moderne et inspirant, agrémenté de touches méditerranéennes.

Jérôme Rotrou, Directeur Général du Novotel Abidjan Marcory, explique : « Abidjan représente aujourd’hui le hub économique régional de l’Afrique de l’Ouest. La ville, en plein essor et dotée de nombreuses infrastructures, avec des développements supplémentaires en cours comme le futur métro qui passera non loin de l’hôtel. Avec l’ouverture du Novotel Abidjan Marcory, notre objectif est d’offrir un service d’hébergement de qualité et de créer un équilibre parfait entre travail et détente, permettant à nos clients de profiter pleinement de leur séjour, qu’ils soient ici pour affaires, pour le plaisir ou pour un mix des deux. Avec nos infrastructures, comme le restaurant LIVA, L’Escale, le Cigare Lounge, la salle de fitness et la piscine extérieure, nous souhaitons offrir à chaque visiteur une expérience revitalisante.  »

Paul Stevens, Directeur des Opérations pour Accor dans le Moyen-Orient, la Turquie et l’Afrique, en charge des enseignes haut de gamme, milieu de gamme et économiques , ajoute : « L’ouverture du Novotel Abidjan Marcory marque une étape importante pour Accor en Afrique subsaharienne, témoignant de notre engagement à créer des espaces modernes et inspirants, dans une ville aussi dynamique qu’Abidjan. Ce projet incarne notre vision d’une hospitalité ancrée dans les besoins locaux et tournée vers l’excellence. Nous sommes particulièrement fiers d’accueillir plus de 200 talents ivoiriens au sein de nos équipes, illustrant notre engagement en faveur du développement des communautés et de la valorisation des compétences. » 

Ce lancement s’inscrit dans la montée en puissance de la Côte d’Ivoire comme destination incontournable en Afrique de l’Ouest, portée par des initiatives majeures telles que le programme gouvernemental “Sublime Côte d’Ivoire,” qui ambitionne de faire passer la contribution du tourisme au PIB à 10 % d’ici 2025.

Le Novotel Abidjan Marcory se positionne comme un acteur clé de cette croissance, offrant une expérience alliant confort, connexion et flexibilité à une clientèle diversifiée.

Novotel Abidjan Marcory fait partie de l’écosystème ALL, Accor Live Limitless, le programme de fidélité et plateforme de réservations. Les membres ALL Accor Live Limitless pourront bénéficier de l’offre spéciale x4 Points, et gagner quatre fois plus de points de fidélité pour les séjours réservés entre le 25 novembre 2024 et le 9 mars 2025. ».

Novotel incarne l’art de vivre en équilibre, avec un réseau mondial de plus de 590 hôtels répartis dans 65 pays et plus de 160 établissements en développement. Renforçant son engagement de longue date à accompagner ses clients dans leur quête d’harmonie, Novotel a récemment conclu un partenariat de trois ans avec le Fonds Mondial pour la Nature (WWF). Cet accord vise à protéger et restaurer les océans, source essentielle d’équilibre pour la planète, grâce à des initiatives scientifiques et des projets de conservation ambitieux.

L’armée nigérienne : un rempart efficace contre les menaces transfrontalières

L’armée nigérienne a une nouvelle fois démontré sa capacité à défendre le territoire national en neutralisant une colonne de bandits armés venus du Nigeria voisin. Cet exploit témoigne de la montée en puissance des forces armées nigériennes, engagées depuis plusieurs années dans la lutte contre l’insécurité transfrontalière et les menaces terroristes.

Selon des sources militaires, l’incident s’est déroulé près de la frontière entre le Niger et le Nigeria(Mutseka) vers Yaya, une zone historiquement marquée par des incursions de groupes criminels et armés. La colonne de bandits, lourdement équipée et composée d’une vingtaine d’individus à motos, tentait d’infiltrer le territoire nigérien avec l’intention de mener des attaques contre des villages locaux.

Alertée par des renseignements précis provenant de la population et des dispositifs de surveillance, l’armée nigérienne a immédiatement déployé une unité d’intervention rapide. Grâce à une coordination efficace entre les forces terrestres et aériennes, l’opération a permis de neutraliser les assaillants avant qu’ils ne puissent causer des dégâts. Les autorités ont confirmé que des armes et des munitions ont été saisies, renforçant la capacité des forces de sécurité à faire face à de futures menaces.

Cet exploit s’inscrit dans un contexte régional où la sécurité reste un défi majeur. La bande sahélienne, en particulier, est le théâtre d’activités criminelles et terroristes qui déstabilisent les populations et ralentissent le développement économique. Le Niger, qui partage des frontières avec plusieurs pays en crise, se retrouve en première ligne de ces défis.

L’efficacité de cette opération montre que les investissements dans la modernisation de l’armée nigérienne portent leurs fruits. Grâce à une formation accrue, au renforcement des équipements militaires et à la coopération avec les partenaires régionaux et internationaux, les forces armées nigériennes se positionnent comme un acteur clé dans la stabilisation du Sahel.

Un des éléments déterminants dans cette victoire a été la collaboration entre les forces de sécurité et les populations locales. Ces dernières, souvent victimes des exactions des bandits et des terroristes, jouent un rôle crucial en partageant des informations stratégiques avec les autorités. Ce partenariat contribue à renforcer la confiance mutuelle et à dissuader les incursions ennemies.

Bien que cette victoire soit significative, elle ne marque pas la fin des défis sécuritaires pour le Niger. Les groupes armés opérant dans la région adaptent constamment leurs stratégies, ce qui nécessite une vigilance accrue et une coopération continue entre les forces armées nigériennes et leurs partenaires.

Toutefois, cette neutralisation d’une colonne de bandits armés souligne une vérité essentielle : le Niger dispose d’une armée capable de défendre son territoire et de garantir la sécurité de ses citoyens. Ce succès renforce également le moral des troupes et envoie un message fort aux ennemis de la paix.

Avec des efforts soutenus et une stratégie bien pensée, l’armée nigérienne continue de démontrer qu’elle est un pilier central de la stabilité et de la résilience face aux menaces transfrontalières.

David Tayorault : Un artiste aux multiples talents(invité 9jafrenchradio)

David Tayorault est une figure incontournable de la scène artistique ivoirienne et africaine. Producteur, chanteur, compositeur et désormais acteur, il incarne la polyvalence et la longévité dans un milieu en constante évolution. Son parcours, marqué par des succès musicaux et des choix audacieux, fait de lui un modèle d’inspiration pour les jeunes générations.

Né dans une famille passionnée par la musique, David Tayorault a commencé sa carrière dès son adolescence. Il s’est d’abord fait connaître comme chanteur principal du mythique groupe Woya, qui a marqué les années 1980 avec ses sonorités afro-pop et reggae. Le groupe, dont il était un pilier, a révolutionné la musique ivoirienne en mêlant modernité et traditions.

Après la dissolution de Woya, David Tayorault a entamé une carrière solo, devenant rapidement l’un des artistes les plus respectés en Afrique. En parallèle, il s’est imposé comme producteur et arrangeur, collaborant avec des stars comme Meiway, Magic System, Aicha Koné et de nombreux autres. Son style unique, combinant authenticité africaine et influences internationales, a contribué à façonner le paysage musical ivoirien et africain.

David Tayorault n’a pas limité ses talents à la musique. Récemment, il s’est lancé dans une nouvelle aventure : le cinéma. Après des années à divertir les mélomanes, il s’essaie désormais à l’art dramatique, explorant un domaine qui, selon lui, est une extension naturelle de sa créativité. Cette reconversion témoigne de son envie constante de relever des défis et de sortir de sa zone de confort.

Grâce à sa personnalité charismatique et son expérience scénique, Tayorault s’intègre rapidement dans le monde du septième art. Son talent pour raconter des histoires à travers la musique semble se transposer avec succès dans ses performances cinématographiques. Il incarne des rôles variés, prouvant sa capacité d’adaptation et enrichissant ainsi son portfolio artistique.

Au-delà de ses talents artistiques, David Tayorault est reconnu pour sa capacité à inspirer. Il s’investit activement dans la promotion des jeunes talents africains, leur offrant des plateformes pour se faire connaître et les guidant dans leur parcours. Pour lui, chaque jeune artiste mérite une chance, et il n’hésite pas à partager son savoir-faire.

Dans une industrie souvent marquée par des carrières éphémères, Tayorault incarne la persévérance et l’innovation. Il montre qu’avec du travail et de la passion, il est possible de se réinventer et de durer dans le temps.

David Tayorault reste une figure emblématique et influente de la culture africaine. Que ce soit dans la musique, le cinéma ou en tant que mentor, il continue de laisser une empreinte indélébile. Sa capacité à jongler entre différents univers artistiques témoigne de son génie créatif et de sa détermination à explorer de nouveaux horizons.

Avec une carrière déjà riche, il est certain que David Tayorault continuera de surprendre et d’inspirer, confirmant ainsi sa place parmi les artistes les plus complets de sa génération.

L’intégralité à retrouver sur 9jafrenchradio en cliquant sur :

https://welove.radio/radio/9ja-french-radio/

https://www.radioline.co/fr/radios/9ja_french_radio

Does power usually change man?

Our African politicians: are they really not crazy?

Does power usually change man?

Power fascinates, corrupts, transforms. But when exercised excessively, it can also become a trap, a vicious circle where ideals fade to give way to an insatiable thirst for control. This reality, very often observed on the African continent, raises a fundamental question: are our politicians unreasonable, or is it power itself that changes them to the point of altering their humanity?

It is often said that power reveals the true nature of man. For some, it exacerbates latent traits: greed, vanity, or even a certain form of paranoia. In Africa, where the political landscape is often marked by complex post-colonial contexts, glaring inequalities and fierce struggles for control of resources, power becomes a weapon and a source of wealth, sometimes more than a moral responsibility.

There is no shortage of examples. How many leaders have promised great things before their rise and then cling to power through constitutional manipulation, violent repression or fraudulent elections? From Central Africa to West Africa, formerly charismatic and inspiring political figures have often fallen into autocratic dynamics, betraying the hopes of their populations.

The African political system, in many cases, inherits from colonial models that favored extreme centralization of power. This model, rarely called into question, promotes a culture where the politician is perceived as a “modern king”. Institutions, although existing, are often fragile and incapable of containing abuse.

Furthermore, the glorification of the leader and the excessive personalization of power fuel a mentality that associates the State with the individual. From this perspective, leaving power is seen not as a natural step, but as a disavowal or an existential threat. The example of African presidents multiplying mandates despite popular opposition illustrates this dynamic.

Should we blame power or those who seek it? According to psychological analyses, power acts as a catalyst. It intensifies existing traits and can lead to a gradual disconnection from reality. Leaders surrounded by courtiers and cut off from the masses often fall into a spiral of selfish and irrational decisions, where their own retention of power becomes more important than collective well-being.

However, not all African politicians fall into this cycle. Some, like figures like Nelson Mandela, have demonstrated that it is possible to exercise power with humility and while remaining faithful to principles. This proves that power, if used well, does not necessarily transform one into a tyrant or an egotist.

The alleged madness of our politicians raises another question: that of the responsibility of citizens. In societies where clientelism is widespread and where populations are sometimes resigned to abuse, change becomes difficult. Voters, seeking individual benefits or manipulated by populist speeches, sometimes themselves contribute to the maintenance of failing systems.

Our African politicians are not inherently crazy. They operate in a complex system where power acts like a centrifugal force, attracting some and rejecting ethical principles. But this system is not immutable. It is up to each citizen, intellectuals, media and institutions to build a political environment where power is no longer an end in itself, but a means to serve.

Power, whether in Africa or elsewhere, should not turn man into a despot, but rather reveal his capacity to inspire, build and transform positively. It remains to be seen whether future generations will be able to break this cycle and redefine the relationship between man and power.

Nos politiciens africains : ne sont-ils vraiment pas fous ?

Le pouvoir fascine, corrompt, transforme. Mais lorsqu’il est exercé de manière excessive, il peut aussi devenir un piège, un cercle vicieux où les idéaux s’effacent pour laisser place à une soif insatiable de contrôle. Cette réalité, bien souvent observée sur le continent africain, soulève une question fondamentale : nos politiciens sont-ils déraisonnables, ou est-ce le pouvoir lui-même qui les change au point d’altérer leur humanité ?

Il est souvent dit que le pouvoir révèle la vraie nature de l’homme. Pour certains, il exacerbe des traits latents : l’avidité, la vanité, ou même une certaine forme de paranoïa. En Afrique, où le paysage politique est souvent marqué par des contextes post-coloniaux complexes, des inégalités criantes et des luttes acharnées pour le contrôle des ressources, le pouvoir devient une arme et une source de richesse, parfois plus qu’une responsabilité morale.

Les exemples ne manquent pas. Combien de dirigeants ont promis monts et merveilles avant leur ascension pour ensuite s’accrocher au pouvoir à coups de manipulations constitutionnelles, de répressions violentes ou d’élections frauduleuses ? De l’Afrique centrale à l’Afrique de l’Ouest, des figures politiques autrefois charismatiques et inspirantes ont souvent basculé dans des dynamiques autocratiques, trahissant les espoirs de leurs populations.

Le système politique africain, dans bien des cas, hérite de modèles coloniaux qui privilégiaient la centralisation extrême du pouvoir. Ce modèle, rarement remis en cause, favorise une culture où l’homme politique est perçu comme un “roi moderne”. Les institutions, bien qu’existantes, sont souvent fragiles et incapables de contenir les abus.

De plus, la glorification du leader et la personnalisation excessive du pouvoir alimentent une mentalité qui associe l’État à l’individu. Dans cette perspective, quitter le pouvoir est vu non pas comme une étape naturelle, mais comme un désaveu ou une menace existentielle. L’exemple des présidents africains multipliant les mandats malgré l’opposition populaire illustre cette dynamique.

Faut-il accuser le pouvoir ou ceux qui le recherchent ? Selon des analyses psychologiques, le pouvoir agit comme un catalyseur. Il intensifie les traits existants et peut entraîner une déconnexion progressive de la réalité. Les dirigeants entourés de courtisans et coupés des masses tombent souvent dans une spirale de décisions égoïstes et irrationnelles, où leur propre maintien au pouvoir devient plus important que le bien-être collectif.

Cependant, tous les politiciens africains ne sombrent pas dans ce cycle. Certains, à l’image de figures comme Nelson Mandela, ont démontré qu’il est possible d’exercer le pouvoir avec humilité et en restant fidèle à des principes. Cela prouve que le pouvoir, s’il est bien utilisé, ne transforme pas nécessairement en tyran ou en égoïste.

La folie présumée de nos politiciens soulève une autre question : celle de la responsabilité des citoyens. Dans des sociétés où le clientélisme est répandu et où les populations se résignent parfois face aux abus, le changement devient difficile. Les électeurs, en quête de bénéfices individuels ou manipulés par des discours populistes, contribuent parfois eux-mêmes au maintien de systèmes défaillants.

Nos politiciens africains ne sont pas intrinsèquement fous. Ils évoluent dans un système complexe où le pouvoir agit comme une force centrifuge, attirant certains et rejetant les principes éthiques. Mais ce système n’est pas immuable. Il revient à chaque citoyen, aux intellectuels, aux médias et aux institutions de bâtir un environnement politique où le pouvoir n’est plus une fin en soi, mais un moyen de servir.

Le pouvoir, qu’il soit en Afrique ou ailleurs, ne devrait pas changer l’homme en despote, mais plutôt révéler sa capacité à inspirer, construire et transformer positivement. Reste à savoir si les générations futures seront capables de briser ce cycle et de redéfinir la relation entre l’homme et le pouvoir.

Press release : Rawbank and Vitol invest $2 million in two cookstove projects in the DRC, aiming to reduce 6 million tonnes of CO2 over 10 years

Rawbank, the DRC’s leading bank, announces a historic $2 million investment in two Improved Cookstoves projects in partnership with Vitol, aimed at reducing 6 million tonnes of CO2 over ten years. As COP29 opens in Baku, with strengthened commitments from multilateral development banks to mobilize $120 billion a year in climate finance by 2030, this project marks a turning point for maximizing environmental and social impacts in Africa. Rawbank’s commitment illustrates how commercial banks can play a decisive role in the transition to a sustainable economy, by mobilizing resources for projects with high environmental impact and supporting global climate goals.

A pioneering governance model in the DRC, serving climate finance

In 2023, Rawbank is introducing a new governance model in the DRC, the Carbon Advisory Committee. Made up of scientists, financiers, carbon entrepreneurs and sustainable development experts, this committee will oversee all initiatives, ensuring their compliance with the most demanding international standards. This mechanism works in synergy with the Climate Finance Desk, launched at the same time, whose mission is to facilitate access to international financing for carbon project developers. Together, these entities transform the DRC’s environmental ambitions into concrete, measurable projects.

Mustafa Rawji, Managing Director of Rawbank, explains: “The launch of our Climate Finance Desk a year ago was aimed at positioning the DRC as a key player in climate finance. Today, this landmark financing proves that a commercial bank in the DRC can play a decisive role in the voluntary carbon market, estimated at $2 billion worldwide. This is a major step forward, demonstrating our ability to mobilize resources for projects with a high environmental impact and to shape the future of sustainable finance in our country.”

Thibaut Deckers, Head of the Climate Finance Desk at Rawbank, comments: “This first carbon financing is not just a milestone for us, but tangible proof of feasibility. By supporting a local project developer, we are demonstrating our ability to master the risks specific to projects in the DRC, thanks to our in-depth knowledge of the terrain.”

A commitment aligned with global priorities

With its vast tropical forests, the DRC plays an essential role in regulating the global climate, absorbing up to 1.5 billion tonnes of CO2. This investment by Rawbank and Vitol comes at a strategic time, as COP29, which opened in Baku on November 11, focuses on redefining financial commitments for the climate. The aim is to exceed the previous agreement of $100 billion a year, by mobilizing greater resources to support the energy transition.

About RAWBANK

Rawbank has been supporting the development of the Congolese economy for 22 years. It offers state-of-the-art products and services to its 500,000+ corporate, SME and individual customers through a network of 100 sales outlets in 19 provinces, including Greater Katanga, Greater Kasai, the two Kivus, Equateur and Central Kongo. A representative office in Brussels and 300 ATMs add to this extensive branch network. With over 1,800 employees, Rawbank has a market share of over 30%. Strength, profitability and sustainability are Rawbank’s priorities in consolidating its growth strategy. Its efforts have been rewarded with the African Bankers Award 2022 and 2024 for the best regional bank in Central Africa, a Moody’s CAA 1 rating, and ISO/IEC 20000 and ISO/IEC 27001 certifications. Partners who place their trust in RAWBANK include: IFC, BAD, TDB, BADEA, Shelter Africa, AGF, etc

Adanmado Oscar Dieudonné alias Vasking le Blade : Un artiste aux multiples talents

Adanmado Oscar Dieudonné, plus connu sous le pseudonyme de Le Vasking le Blade, est une figure montante de la scène artistique contemporaine. Originaire du Benin, cet artiste talentueux s’impose progressivement comme un symbole de créativité et d’innovation, mêlant habilement tradition et modernité.

Un artiste aux influences multiples

Vasking le Blade se distingue par son approche pluridisciplinaire. En tant qu’artiste, interprète et chanteur, il ne se limite pas à un médium unique, mais explore diverses formes d’expression artistique. Ses œuvres s’inspirent des richesses culturelles africaines tout en intégrant des éléments urbains et futuristes. À travers ses créations, il offre un dialogue entre le passé et l’avenir, célébrant ses racines tout en s’ouvrant aux défis de la modernité.

Le surnom : entre mystère et symbolisme

Le choix du pseudonyme Vasking le Blade intrigue et fascine. Il incarne, selon l’artiste, la dualité de son univers : Vasking, un terme qui évoque l’élégance et la royauté, et Blade, qui symbolise la précision, la modernité et le tranchant de son regard sur le monde. Ce mélange traduit sa capacité à naviguer entre différents styles et univers, tout en gardant une identité forte et singulière.

Un message fort à travers l’art

Le travail de Vasking le Blade dépasse l’esthétique pure. À travers ses interprétations, il aborde des thématiques profondes telles que l’identité, la résilience, et la quête de sens dans un monde en constante évolution.

Un artiste engagé

Adanmado Oscar Dieudonné ne se contente pas de chanter; il est également un fervent défenseur de l’éducation et de la valorisation de la culture africaine.

Une reconnaissance en pleine ascension

Le talent de Vasking le Blade ne passe pas inaperçu. Son style unique et son engagement font de lui un artiste incontournable de la scène.

Un avenir prometteur

Avec sa vision artistique audacieuse et son désir constant de repousser les limites, Adanmado Oscar Dieudonné, alias Vasking le Blade, est destiné à marquer son époque. Que ce soit par ses interprétations, ses collaborations ou ses messages percutants, il continue de séduire un public toujours plus large, prouvant que la musique reste un puissant moyen de connexion et d’inspiration.

En somme, Vasking le Blade est bien plus qu’un artiste ; il est un conteur, un visionnaire, et un ambassadeur culturel qui transcende les frontières pour raconter l’histoire de son peuple et de son temps.