TOKYO JAMES CELEBRATES A DECADE OF DESIGN WITH GROUNDBREAKING AW25 “MIDNIGHT” COLLECTION AT MILAN FASHION WEEK -Pictures

In a historic convergence of fashion capitals, Tokyo James commemorated ten years of innovative design with the presentation of its Autumn/Winter 2025 “Midnight” collection. The show was broadcast from Vici, Victoria Island, Lagos to Milan Fashion Week, marking the brand’s fifth consecutive year on the prestigious international calendar. 

Founded in 2015, Tokyo James has established itself as a vanguard of contemporary African luxury fashion, consistently challenging conventions while honouring cultural heritage. The brand has become synonymous with boundary-pushing tailoring, innovative textile manipulation, and a bold aesthetic that transcends geographical borders. 

The AW25 “Midnight” collection represents the culmination of a decade-long journey. It features the brand’s signature juxtaposition of structured silhouettes with fluid drapery, traditional techniques reimagined through a contemporary lens, and a colour palette inspired by Lagos’ nocturnal energy. 

Première femme à occuper ce poste,Elle démissionne de la présidence après 7 semaines de service

Mojisola Meranda démissionne de son poste de présidente de l’Assemblée de l’État de Lagos après sept semaines de mandat.

Sa démission, annoncée lors d’une séance plénière, a été saluée par ses collègues législateurs, qui ont salué son style de leadership et son engagement envers les principes du parti.

Dans un développement politique important, l’Assemblée de l’État de Lagos a réélu Mudashiru Obasa à la présidence le 3 mars 2025. Cette réélection intervient près de deux mois après sa destitution en janvier, marquant une période charnière dans l’histoire législative de l’État. Cette décision fait suite à la démission de Mojisola Meranda, qui avait brièvement occupé ce poste en raison de conflits internes au sein de l’Assemblée.

Mudashiru Ajayi Obasa, né le 11 novembre 1972, est un avocat et homme politique nigérian chevronné. Il a commencé sa carrière politique en 2007, représentant la circonscription d’Agege I à l’Assemblée de l’État de Lagos.

Obasa a assumé pour la première fois le rôle de président en juin 2015 et a occupé ce poste jusqu’à sa destitution en janvier 2025.

Collection automne/hiver 2025 à la Fashion Week de Milan pour marquer les 10 ans de Tokyo

Le créateur nigérian Tokyo James a célébré sa 10e année dans la mode avec une collection automne/hiver 2025 à la Fashion Week de Milan, mettant en valeur ses créations de Lagos, au Nigéria. Contrairement à la tradition, James a choisi de faire défiler ses mannequins à Lagos et de diffuser le défilé en direct à Milan, marquant ainsi sa cinquième année consécutive à ce prestigieux événement.

L’univers de la mode nigériane a brillé de mille feux lors d’une séance de présentation exceptionnelle organisée par le talentueux styliste Tokyo James. L’événement, qui s’est tenu dans un cadre somptueux, a rassemblé un parterre d’invités prestigieux, parmi lesquels des figures influentes du monde de la mode, de la culture et du tourisme.

Parmi les personnalités de marque, Toke Benson-Awognika, en charge du Tourisme, des Arts et de la Culture de l’État de Lagos, a honoré l’événement de sa présence.

Son engagement en faveur de la promotion du patrimoine culturel nigérian a donné un éclat particulier à cette rencontre, marquant l’importance de la mode comme vecteur de l’identité nationale et du rayonnement international du Nigeria.

Une célébration du talent et du savoir-faire local

Le styliste Tokyo James, connu pour son sens aigu de l’innovation et son approche avant-gardiste du design, a présenté une collection éblouissante qui mêle traditions et modernité. Les créations, inspirées des tissus et motifs emblématiques du Nigeria, ont su captiver l’audience, témoignant du dynamisme et de l’élégance intemporelle de la mode nigériane.

Le défilé a été marqué par une mise en scène soignée, mettant en avant des silhouettes audacieuses et des coupes sophistiquées, sublimées par des accessoires artisanaux reflétant l’héritage culturel du pays. Chaque pièce racontait une histoire, celle d’un Nigeria fier de son héritage et tourné vers l’avenir.

Un engagement pour la valorisation de l’industrie de la mode

Dans son allocution, Toke Benson-Awognika a souligné l’importance du secteur de la mode dans le développement économique et culturel du Nigeria. Elle a mis en avant le rôle essentiel des créateurs locaux dans la promotion du tourisme et du patrimoine national à travers leurs œuvres.

« La mode nigériane est une industrie florissante qui mérite d’être davantage mise en lumière. Nos créateurs possèdent un talent exceptionnel qui peut rivaliser sur la scène internationale. Il est de notre devoir de les soutenir et de valoriser leur travail », a-t-elle déclaré avec conviction.

Un événement marquant pour l’avenir de la mode nigériane

Cette séance de présentation n’a pas seulement été un défilé, mais un véritable plaidoyer pour la reconnaissance de la mode nigériane à travers cet homme qui à travers ces dix ans a marqué et continuera à parler de lui comme un pilier de la culture et de l’économie du pays. Les échanges entre les créateurs, les investisseurs et les personnalités présentes ont ouvert de nouvelles perspectives pour l’essor de l’industrie de la mode locale.

L’événement, riche en couleurs et en créativité, s’est conclu sur une note d’optimisme et d’enthousiasme, avec la promesse de nouvelles collaborations et initiatives pour propulser la mode nigériane vers de nouveaux sommets.

Avec des figures influentes comme Toke Benson-Awognika et des créateurs de renom tels que Tokyo James, l’avenir de la mode nigériane s’annonce des plus prometteurs, affirmant ainsi la place du Nigeria comme un acteur majeur de la scène mode internationale.

Nigerians displaced as rents double in inflation-hit Lagos

Nigeria’s economic crisis is hitting renters in Lagos hard as landlords pass down the costs of spiralling inflation — pushing residents further out, upending children’s education and adding to workers’ already infamous commutes.

With a population of more than 20 million, the country’s sprawling, ever-growing economic capital has for years struggled to keep up with housing demand, with some 3,000 people added to its population per day.

But government-led economic reforms, including the floating of the naira currency and the removal of a fuel subsidy, have sent a shock through the economy. 

In a city that scions of oil wealth, a solid middle class and millions of informal workers all call home, rents are spiking on both Lagos’ richer islands and the cheaper — and poorer — mainland.

“I might just have to find a way to plead with my landlord,” said Yemisi Odusanya, a 40-year-old cookbook author and food blogger. 

After giving birth to twins last year, she’s doubtful she can find a better deal elsewhere for her family of seven, even after her landlord in Lekki raised the rent 120 percent.

“I’m planning to pack out,” Bartholomew Idowu, a transportation worker, said emphatically, though he wasn’t sure where he and his children would move. 

The mainland resident’s landlord hit him with a 28-percent rent increase, from 350,000 naira ($232) per year to 450,000 — a significant sum in a country where the GDP per capita is $835.

– Children changing schools –

The government recently revised its inflation data, knocking down official year-on-year inflation in January to 24.48 percent, from December’s 34.80 percent figure.

That’s been of little consolation to ordinary Nigerians.

“The way out at the moment is to look for a way to pay,” said Dennis Erezi, a journalist, noting that his 31-percent rent increase is still cheaper than moving.

Jimoh Saheed, a personal trainer, had to leave his one-room flat in a middle-class neighbourhood in Ikoyi when his landlord more than doubled his rent to 2.5 million naira a year and a half ago. 

Moving to the mainland meant he was further from his clients and his two children had to change schools and now pay for transport since they no longer live close enough to walk to class.

Late last year, his new landlord raised his rent by 25 percent.

“This is affecting me emotionally, it’s affecting me mentally, and in fact, physically,” said the 39-year-old, who said his earnings have not kept up with the pace of inflation despite taking on more work.

Lawyers say that rent hikes cannot be unilaterally imposed and are supposed to be negotiated between parties. 

But laws are rarely enforced without the threat of a lawsuit, attorney Valerian Nwadike told AFP, noting an uptick in tenant-landlord disputes in the past year.

– Luxury market –

The government hopes its economic reforms will eventually pay dividends, but for nearly two years Nigerians have slogged through the worst economic crisis in a generation.

There are also structural issues at play: high interest rates mean mortgages are out of reach for most, and developers face a bureaucratic regulatory environment, said housing analyst Babatunde Akinpelu.

Lagos is also home to an outsize number of Nigeria’s jobs — leading to an unending stream of people pouring in. 

Even as cranes and construction sites whir across the city, many new developments are targeted to the high-end market — foreigners, Nigerians in the diaspora or oil sector workers, many of whom earn in dollars.

The result is a bifurcated housing market, where increased supply in the luxury sector doesn’t trickle down to the rest of the housing stock, said economist Steve Onyeiwu.

“Most of (Lagos’s) landlords are exposed to dollar-denominated expenses,” like loans or mortgages for properties abroad, even as the naira’s value has collapsed, said a director at Island Shoreline, a property management company, adding his own landlord recently tried to raise his rent 100 percent.

Improved public transit, such as the new rail line connecting Lagos and Ibadan, might alleviate pressure but for now there’s a “snowball effect” of rising prices, he noted, asking that his name not be used given the sensitivity of rent hikes.

With leases typically paid up front for anywhere between one and three years, both landlords and renters try to negotiate a good deal to hedge against inflation.

But the current spike in rents is “alarming,” said real-estate agent Ismail Oriyomi Akinola, noting 200 percent jumps on the wealthy Victoria Island.

“Good shelter is very key to every individual,” he said. “Not only for the rich.”