Inquiétudes entourant la disparition de 178 459 armes à feu au sein de la police nigerianne

Mardi dernier, la Commission sénatoriale des comptes nationaux a interrogé l’Inspecteur général de la police, Kayode Egbetokun, sur les inquiétudes entourant la disparition de 178 459 armes à feu et les allégations d’un contrat de 1,1 milliard de naira attribué à la police.

 En 2019, l’Auditeur national a présenté un rapport au Sénat selon lequel 178 459 armes, pour la plupart des AK-47, manquaient dans la police nationale, et Samuel Godwin a présenté le rapport au nom de Shaakaa Chira.

 En décembre 2018, 178 459 armes à feu ont été portées disparues, dont 88 078 étaient des AK-47, et en 2020, 3 907 armes légères ont été portées disparues.

 C’est pourquoi le Sénat a déclaré que les armes achetées pour protéger la vie des citoyens retournent entre les mains des bandits.

 Notre source a rapporté que l’Inspecteur général de la police, Egbetokun, s’est excusé auprès du Parlement pour ne pas s’être présenté devant lui lorsqu’il l’avait invité, affirmant que c’était son travail qui l’empêchait de comparaître au Parlement.

 L’inspecteur général adjoint de la police, AIG Abdul Sulaiman, chargé des comptes de la police, a représenté Egbetokun, où il a déclaré que certaines des armes avaient été perdues lors de vols à main armée, tandis que d’autres avaient été perdues lorsque la police avait été attaquée par des bandits.

 Les membres du Sénat ont déclaré que cette disparition des armes a aggravé l’insécurité au Nigeria.

Renforcer les relations avec les États membres de l’Alliance des États du Sahel (AES)-Richard Boni

Richard Boni Ouorou, homme politique béninois et président du Mouvement Libéral, a récemment exprimé sa volonté de renforcer les relations avec les États membres de l’Alliance des États du Sahel (AES). Il se dit ouvert à une rencontre afin de mutualiser les efforts pour le développement régional.

Dans une tribune publiée en janvier 2024, Richard Boni Ouorou a proposé plusieurs axes pour compenser la sortie de certains pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et pour renforcer la coopération avec les États de l’AES. Parmi ces propositions figurent le renforcement de l’intégration régionale, la diversification économique, le dialogue politique, l’investissement dans la sécurité et la stabilité, ainsi que la promotion de l’entrepreneuriat et de l’innovation. 

Il souligne l’importance d’un dialogue constructif avec les pays de l’AES pour maintenir la paix et la sécurité régionales. Des accords bilatéraux ou multilatéraux pourraient être explorés pour assurer une transition économique fluide et une coopération dans des domaines d’intérêt mutuel. 

Richard Boni Ouorou appelle également à une diversification des économies pour réduire la dépendance aux exportations de matières premières et créer une résilience face aux chocs externes. Il insiste sur la nécessité de soutenir les petites et moyennes entreprises (PME) et les startups, moteurs de la croissance économique et de la création d’emplois. 

En outre, il plaide pour un investissement accru dans les forces de sécurité nationales et régionales afin de lutter contre les menaces transfrontalières et instaurer un climat propice au développement économique. Il estime également essentiel de solliciter un soutien financier et technique de la part des partenaires internationaux pour combler les déficits budgétaires et financer des projets de développement stratégiques. 

Par ces propositions, Richard Boni Ouorou démontre son engagement à renforcer la coopération régionale et à mutualiser les efforts avec les États de l’AES pour un développement harmonieux et durable de la région.

Aliou le Jagouar : De l’Acteur Culturel au Ministre de la Culture du Palais Royal de Adjohoun

Aliou le Jagouar : De l’Acteur Culturel au Ministre de la Culture du Palais Royal de Adjohoun

Dans le royaume d’Adjohoun, niché au cœur de la vallée de l’Ouémé, une figure emblématique de la culture béninoise a récemment été élevée au rang de Ministre de la Culture du Palais Royal par le roi Signon. Il s’agit d’Aliou le Jagouar, un acteur culturel au parcours riche et singulier, dont l’engagement inlassable pour la préservation et la promotion des valeurs culturelles béninoises est reconnu à l’échelle nationale.

Aliou le Jaguar, a longtemps été un pilier de la scène culturelle béninoise. Artiste polyvalent, il s’est distingué par son talent et son dévouement dans divers domaines tels que la musique, la danse, le théâtre, et l’organisation d’événements culturels. Depuis ses débuts modestes, il a su gravir les échelons grâce à son travail acharné et à sa volonté de faire briller les richesses culturelles du Bénin, notamment dans les régions rurales souvent marginalisées.

En tant qu’acteur culturel, Aliou le Jagouar a contribué à la mise en valeur des traditions locales à travers des spectacles, des ateliers de formation pour les jeunes, et des partenariats avec des institutions nationales et internationales. Il est également connu pour ses efforts visant à préserver les danses traditionnelles et les récits oraux menacés par l’évolution rapide de la société moderne.

La nomination d’Aliou le Jagouar au poste de Ministre de la Culture du Palais Royal de Adjohoun est un hommage à sa contribution exceptionnelle. Le roi Signon, gardien des traditions et promoteur infatigable de l’identité culturelle de son royaume, a salué lors de la cérémonie d’intronisation l’impact durable d’Ali Jaguar sur le patrimoine culturel béninois.

Ce nouveau rôle confère à Aliou le Jagouar une responsabilité majeure : celle de veiller à la sauvegarde et à la valorisation des trésors culturels du royaume d’Adjohoun. En tant que Ministre de la Culture, il sera chargé de conseiller le roi sur les questions culturelles, d’organiser des événements emblématiques, et de promouvoir les coutumes ancestrales auprès des générations actuelles et futures.

Un avenir prometteur pour la culture béninoise

Avec cette nomination, le royaume d’Adjohoun affirme sa volonté de faire de la culture un vecteur de cohésion sociale et de développement. Aliou le Jagouar, fort de son expérience et de sa vision progressiste, semble être l’homme de la situation pour relever ce défi.

Son ambition déclarée est d’assurer une plus grande visibilité au patrimoine culturel local, non seulement au Bénin mais aussi au-delà des frontières. Il entend également renforcer les liens entre les jeunes et leurs racines culturelles, tout en encourageant les collaborations entre les différents acteurs culturels et institutions.

Le parcours d’Aliou le Jagouar est un exemple inspirant qui rappelle l’importance de valoriser les talents locaux et de soutenir ceux qui œuvrent pour la préservation de l’identité culturelle. Sa nomination marque une étape importante pour le royaume d’Adjohoun et, plus largement, pour le rayonnement de la culture béninoise.

Aliou le Jagouar incarne la symbiose parfaite entre tradition et modernité. Son accession au poste de Ministre de la Culture du Palais Royal d’Adjohoun sous le règne du roi Signon est une reconnaissance méritée de ses efforts et un appel à poursuivre sa mission avec encore plus de dévouement.

Le royaume d’Adjohoun, riche de son patrimoine et de ses talents, semble ainsi prêt à écrire une nouvelle page de son histoire culturelle, avec Aliou le Jagouar comme figure de proue.

Une tragédie routière emporte le coach de l’AS ECO Mahamadi Gansonré  

Un terrible accident a frappé l’équipe de l’AS ECO (Espérance Club de Ouahigouya) dans la nuit du 9 février 2025, alors que le bus des joueurs revenait d’un match préliminaire (64e de finale) de la Coupe du Faso au stade municipal de Koudougou.

À la sortie de la ville de Gourcy, dans le village de Rogo, le véhicule a subi un impact d’une rare violence, provoquant un drame humain : le décès du coach de l’équipe et des blessures pour 16 membres du groupe, dont deux en urgence absolue.

Les secours, dépêchés sur les lieux, ont évacué les victimes vers l’hôpital de Ouahigouya, où les blessés reçoivent désormais des soins.

La disparition du coach plonge le club et le monde sportif burkinabè dans le deuil.

The proliferation of private security companies in Nigeria: between necessity and concerns

Nigeria, Africa’s largest economy and the continent’s most populous country, faces growing security challenges. Between attacks by armed groups, banditry, kidnappings and communal tensions, the demand for private security services has exploded in recent years. This proliferation of private security companies reflects both the inadequacy of public security forces and the desire of citizens and businesses to protect their property and loved ones. However, this rapid growth also raises crucial questions about the regulation, effectiveness and long-term implications of this phenomenon.

An alarming security context

The security challenges in Nigeria are multifaceted. The northeast of the country is plagued by repeated attacks by terrorist groups such as Boko Haram and the Islamic State in West Africa (ISWAP). In the northwest, armed gangs, known as “bandits”, carry out bloody raids on villages, stealing livestock and kidnapping civilians for ransom.  In the southeast, separatist tensions add to the instability. Faced with these threats, public security forces – police and army – are often overwhelmed, inadequately equipped and facing accusations of corruption.

This situation pushes many companies and individuals to seek alternatives to guarantee their security. This is where private security companies come in, whose number has exploded over the last decade.

Nigeria now has thousands of private security companies, operating in different sectors. These companies offer a wide range of services: surveillance, close protection, guarding, and even armed patrols in some cases. Multinationals, particularly those operating in the oil and gas sectors, are among the main clients. Individuals, schools, churches and shopping malls are also increasingly using these services.

This growth is supported by an abundant workforce.  Nigeria’s high unemployment rate has allowed these companies to recruit massively, although working conditions and training for agents vary widely from one company to another.

Despite their undeniable role in the country’s security, private security companies raise several concerns:

-Insufficient regulation: Although the government has set up the Nigerian Security and Civil Defence Corps (NSCDC) to regulate the sector, many companies operate without licenses or with minimal supervision. This raises questions about their compliance with professional and ethical standards.

-Quality of training: Security agents are often poorly trained, which limits their ability to respond effectively to threats. Some companies focus more on the quantity than the quality of their services.

-Abuse and abuse: There are documented cases where private security agents have been implicated in human rights violations, abuse of power or even criminal activities.

 -The risk of privatization of security: The proliferation of private security companies could exacerbate inequalities. The rich and big businesses can afford to pay for their security, while the poor remain vulnerable, widening the gap between different social classes.

To address these challenges, several voices are calling for better regulation of the sector. The government must strengthen oversight mechanisms and ensure that all companies comply with established standards. It is also crucial to ensure adequate training for security agents, with a focus on human rights and ethical practices.

Furthermore, increased cooperation between public security forces and private companies could improve the overall effectiveness of the fight against insecurity. However, this requires rigorous transparency and coordination to avoid conflicts of interest.

The proliferation of private security companies in Nigeria is both a response to an urgent need and a phenomenon that raises complex questions.  While they play an important role in the country’s security, these companies must be supervised to ensure that they operate professionally and ethically. In the long term, strengthening public security forces remains essential to ensuring equitable and sustainable security for all Nigerians.

Les inquiétudes des communautés frontalières entre le Nigéria et le Niger face aux nouvelles restrictions du Niger sur les étrangers

Depuis l’arrivée au pouvoir du régime militaire au Niger en juillet 2023, les relations entre Niamey et ses voisins, notamment le Nigéria, ont connu une tension croissante. Les récentes mesures prises par les autorités nigériennes pour limiter l’accès des étrangers, y compris les ressortissants nigérians, ont suscité des inquiétudes parmi les communautés vivant le long de la frontière commune.

Un tissu social et économique menacé

La frontière entre le Nigéria et le Niger, longue de près de 1 500 kilomètres, n’est pas simplement une ligne géographique. Elle représente un espace de vie partagé par des communautés interconnectées par l’histoire, la culture, et surtout le commerce transfrontalier. Les Haoussas, Kanuris et d’autres groupes ethniques des deux côtés de la frontière ont entretenu des liens économiques et sociaux solides depuis des décennies.

Cependant, les nouvelles restrictions imposées par Niamey, comme la nécessité de visas stricts pour entrer au Niger, compliquent ces échanges. Pour les commerçants nigérians, qui transportent quotidiennement des produits essentiels comme les céréales, le bétail et les produits manufacturés, ces mesures représentent un frein majeur à leurs activités. De nombreuses familles craignent une augmentation des coûts des biens et une détérioration de leurs moyens de subsistance.

Des enjeux sécuritaires en toile de fond

Le régime nigérien justifie ces restrictions par des préoccupations sécuritaires. La région sahélienne est depuis longtemps en proie à des conflits armés, des attaques terroristes et des trafics illicites. En resserrant le contrôle sur les étrangers, les autorités de Niamey cherchent à limiter les risques d’infiltration par des éléments hostiles.

Cependant, cette stratégie a des conséquences imprévues pour les populations locales. Les frontières étant poreuses, de nombreux habitants traversent régulièrement pour des raisons personnelles ou économiques, souvent sans documents officiels. Les nouvelles règles risquent de criminaliser ces pratiques traditionnelles et d’accroître les tensions avec les forces de sécurité.

Ces mesures interviennent dans un contexte de relations tendues entre le Niger et le Nigéria, particulièrement après l’embargo économique imposé par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à la suite du coup d’État. Le Nigéria, principal moteur de la CEDEAO, a été perçu par Niamey comme un acteur hostile. Cette méfiance se répercute désormais sur les citoyens ordinaires.

Pour les habitants des zones frontalières, ces tensions diplomatiques ont des implications concrètes. Certains villages ont signalé une réduction de l’accès aux services de base, comme la santé et l’éducation, qui dépendaient auparavant de la coopération transfrontalière.

Appels à la coopération et à la compréhension mutuelle

Face à cette situation, des voix s’élèvent pour appeler à un dialogue entre les deux pays. Les leaders communautaires et les organisations de la société civile exhortent les gouvernements à trouver un équilibre entre les préoccupations sécuritaires et la nécessité de préserver la libre circulation des personnes et des biens.

Le Nigéria et le Niger, liés par une histoire commune, ne peuvent ignorer les besoins de leurs populations frontalières. Les restrictions actuelles, bien qu’elles soient justifiées par des impératifs de sécurité, risquent d’éroder la confiance et la solidarité entre ces deux nations. Il est impératif que des solutions inclusives soient envisagées pour garantir la stabilité et le bien-être des communautés concernées.

La remise en service des postes de péages routiers au Nigeria

Dans une initiative résolument tournée vers la modernisation de ses infrastructures, le gouvernement fédéral du Nigeria a annoncé la réactivation de plusieurs postes de péages routiers dans divers états du pays. Cette mesure, qui intervient après une période d’inactivité relative, vise à renforcer la sécurité routière, améliorer l’entretien des axes principaux et générer des recettes indispensables pour le développement économique.

Au Nigeria, le réseau routier joue un rôle crucial en reliant les centres urbains aux zones rurales et industrielles. Cependant, la vétusté de certaines infrastructures et les difficultés de financement ont longtemps entravé la qualité et la sécurité de ces axes de circulation. C’est dans ce contexte que le gouvernement fédéral a décidé de remettre en service les postes de péages, considérant cette action comme un levier stratégique pour financer les travaux d’entretien et de modernisation des routes.

« La réactivation des postes de péages s’inscrit dans notre volonté de garantir non seulement la fluidité du trafic mais aussi une meilleure gestion de nos infrastructures routières. En modernisant ces installations, nous offrons aux usagers un service plus transparent et sécurisé, » a expliqué un haut responsable du ministère des Transports lors d’un récent communiqué.

Des objectifs multiples et des retombées attendues

La décision de relancer les péages routiers poursuit plusieurs objectifs :

Financement des infrastructures : Les recettes issues de la collecte des péages permettront de financer les travaux d’entretien régulier et de rénovation des routes, réduisant ainsi les coûts liés à la dégradation prématurée des infrastructures.

Modernisation technologique : L’introduction de systèmes de paiement électroniques et de dispositifs de surveillance vise à rendre le processus plus fluide et à limiter les risques de corruption. Cette transparence accrue devrait renforcer la confiance des usagers.

Sécurité routière renforcée : En régulant les flux de trafic et en assurant un suivi plus rigoureux des véhicules, la réactivation des postes de péages contribuera à diminuer les comportements à risque et à améliorer la sécurité sur les routes.

Dynamisation économique : Des routes mieux entretenues facilitent le commerce et les échanges entre les régions, créant ainsi un environnement propice à l’investissement et au développement régional.

L’annonce de cette réactivation a suscité des avis partagés au sein de la population et des milieux professionnels. D’un côté, les experts en infrastructures et les promoteurs économiques saluent l’initiative, soulignant son potentiel pour transformer le réseau routier et, par conséquent, stimuler l’activité commerciale et industrielle. De l’autre, certains associations de transporteurs et de consommateurs s’inquiètent d’une éventuelle hausse des coûts de déplacement, en particulier dans les zones déjà confrontées à des difficultés économiques.

Pour répondre à ces préoccupations, les autorités fédérales ont promis une mise en place progressive et équitable du système, accompagnée d’un suivi transparent de l’utilisation des fonds collectés. « Nous sommes conscients des défis que représente la transition vers ce nouveau modèle. C’est pourquoi nous travaillons en étroite collaboration avec les gouvernements locaux pour adapter les mesures aux réalités de chaque région, » a-t-on assuré au ministère des Infrastructures.

Au-delà de la réactivation immédiate des postes de péages, le gouvernement fédéral envisage d’étendre cette initiative à l’ensemble du pays dans les mois à venir. Un programme de réformes structurelles est en cours d’élaboration afin d’harmoniser la gestion des infrastructures routières, d’améliorer la transparence des opérations et de garantir que les recettes générées soient réinvesties de manière optimale dans le réseau national.

Par ailleurs, l’intégration des nouvelles technologies de paiement et de surveillance pourrait servir de modèle pour d’autres secteurs de l’économie nigériane, renforçant ainsi la crédibilité et l’efficacité de l’administration publique. Les retombées positives attendues ne se limitent pas à l’amélioration des routes : elles pourraient également contribuer à une meilleure cohésion nationale en facilitant la mobilité et les échanges entre les différentes régions du pays.

La remise en service des postes de péages routiers dans certains états du Nigeria marque une étape importante dans la stratégie fédérale de modernisation des infrastructures. En conjuguant modernisation technologique, sécurité accrue et rationalisation des financements, cette initiative démontre la volonté des autorités de répondre aux défis structurels et économiques du pays. Si les inquiétudes concernant une hausse des coûts de transport demeurent, l’espoir est que cette démarche conduise à un réseau routier plus fiable, sûr et performant, au bénéfice de l’ensemble des Nigérians.

La SMB (Société minière de Boké) et le Consortium SMB-Winning dévoilent leur vision au Mining Indaba

Le Cap, 3 février 2025 – La SMB (Société minière de Boké) et le Consortium SMB-Winning sont heureux
d’annoncer leur participation au plus grand événement annuel de l’industrie minière en Afrique : Mining Indaba, qui se tient du 3 au 6 février 2025 au Cap, en Afrique du Sud. Une délégation de premier plan
sera présente afin de partager sa vision des évolutions du secteur minier, alors que la société vient de fêter ses dix ans.
Partage d’expériences, de connaissances et d’ambition
Mining Indaba offre une plateforme unique pour discuter des tendances et perspectives de l’industrie minière en Afrique. L’événement permet au Consortium SMB-Winning de mettre en avant son expertise
solide, ses réalisations en Afrique de l’Ouest et sa stratégie pour le continent.
Grâce à sa forte capacité industrielle, le consortium se positionne comme l’un des principaux producteurs
et exportateurs de bauxite au monde. Avec les 4000 employés de la SMB et les plus de 10 000
collaborateurs du consortium, le groupe représente un poids économique considérable dans la région,
générant des milliers d’emplois directs et indirects, et contribuant significativement au PIB guinéen.
Le groupe se distingue également par le développement d’infrastructures stratégiques, notamment une
voie ferrée de 125 kilomètres entre les plateaux de Santou II et de Houda et le port fluvial de Dapilon.

Ces
investissements contribuent significativement à l’optimisation de la logistique tout en impulsant des
initiatives RSE, soutenant le développement local, la formation et la création d’emplois durables. C’est
dans cette optique que l’entreprise participe à cet événement, réaffirmant son engagement en faveur du
développement économique et social de la Guinée et de l’Afrique.
Frédéric BOUZIGUES – Directeur Général de la SMB, a déclaré “En une décennie, SMB s’est imposée
comme le premier exportateur de bauxite en Guinée, contribuant à faire du pays le leader mondial dans
ce secteur. Ce succès témoigne de notre vision, de notre engagement et de la confiance de nos
partenaires. Présenter notre parcours à Mining Indaba est une opportunité clé pour partager cette réussite
et affirmer notre rôle dans le développement d’une prospérité partagée en Afrique.”
Le 3 février à 16 h 30, Ismaël Diakité, Haut-Représentant du Consortium SMB-Winning, partagera sa
vision sur les défis et les opportunités liés à la transformation locale des ressources, la création de valeur
et l’impact des initiatives ESG dans le secteur minier africain. À travers l’exemple du Consortium SMB-Winning, il mettra en lumière comment la Guinée est passée, en dix ans, du statut d’exportateur de
bauxite à un acteur clé du développement minier africain.
Les mots d’Ismaël DIAKITÉ, Haut-Représentant du Consortium SMB-Winning
“L’essor minier de l’Afrique ne repose pas uniquement sur l’extraction des ressources, mais sur leur
transformation locale et l’inclusion des communautés.

En dix ans, le Consortium SMB-Winning a prouvé qu’une approche intégrée et partenariale pouvait non seulement faire de la Guinée un leader mondial de la bauxite, mais aussi poser les bases d’un avenir minier plus durable et équitable pour le continent.”
À propos de la Société Minière de Boké (SMB)
Fondée en 2014, la Société Minière de Boké (SMB) est aujourd’hui le premier producteur et exportateurde bauxite de Guinée. Pionnier dans la construction des infrastructures routières, ferroviaires et logistiques qui accompagnent la chaîne de valeur de la bauxite, la production de la SMB s’élève à 55 millions de tonnes en 2024.

Aujourd’hui, la contribution de la SMB représente 38% de la production
nationale et 39% des exportations de bauxite de la Guinée. La SMB est devenue un opérateur minier
incontournable. Véritable catalyseur économique, la SMB a ainsi permis à la Guinée de se hisser au rang
de 2ème producteur mondial de bauxite.
Pour en savoir plus sur Mining Indaba 2025 : https://miningindaba.com/home

Le cancer du sein l’un des problèmes de santé publique au Niger

C’est la journée mondiale de lutte contre le cancer. Le cancer du sein est l’un des problèmes de santé publique au Niger.

C’est une pathologie bénigne mais qui se complique si des dispositions ne sont pas prises pour éviter de la  développer.  Selon les chiffres de du ministère de la santé publique,  le pays enregistre chaque année plus de 9 000 nouveaux cas de cancer, avec le cancer du sein en tête, comptant environ 2 000 nouveaux cas par an.

La prévention cette maladie repose sur des actions visant à réduire les facteurs de risque et à favoriser un dépistage précoce. Reportage Moustapha Mainassara.

Vision positive à l’endroit des pays de l’AES -Richard Boni Ouorou (Exclusivité)

Richard Boni Ouorou, homme politique béninois et président du Mouvement Libéral, a récemment exprimé une vision positive à l’égard des pays membres de l’Alliance des États du Sahel (AES), à savoir le Mali, le Niger et le Burkina Faso. Il a souligné l’importance d’un dialogue constructif avec ces nations pour maintenir la paix et la sécurité régionales. Selon lui, des accords bilatéraux ou multilatéraux pourraient être explorés pour assurer une transition économique fluide et une coopération dans des domaines d’intérêt mutuel. 

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Il a également exprimé sa volonté de se rendre dans ces pays pour promouvoir une coopération mutuellement bénéfique, affirmant que cette initiative pourrait contribuer au bonheur partagé des populations concernées. Cette démarche s’inscrit dans sa vision d’une Afrique de l’Ouest unie et prospère, où la collaboration entre les nations est essentielle pour surmonter les défis communs.

Le retrait du Mali, du Niger et du Burkina Faso de la CEDEAO et la formation de l’AES ont suscité diverses réactions au sein de la communauté internationale. Richard Boni Ouorou considère cette évolution comme une opportunité de repenser les relations régionales et d’établir de nouveaux cadres de coopération adaptés aux réalités actuelles.

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En se déclarant prêt à se déplacer dans ces pays, Richard Boni Ouorou démontre son engagement à favoriser le dialogue et la collaboration, dans le but d’assurer un avenir prospère et harmonieux pour l’ensemble des nations de la région.